L'homme et l'oiseau ...
J’admirais un jour le plumage
D’un bel oiseau dans le feuillage
Bien lisse, et très brillant
Comme on en voit que rarement
A voir le jaune de sa couleur
Il étais sûrement un
beau reproducteur
Puis, en le regardant je me disais
Il est comme les hommes, tout à fait
Cet oiseau veut impressionner
Il aime qu'on veuille le regarder
Jeune, il est un peu fanfaron
Il aime, créer de l'agitation
Pus tard, en prenant de l'âge
Il devient, juste un peu plus sage
Mais il sera toujours un prétendant
Sera aussi charmeur malgré les ans
Il rafraîchira toujours son images
Comme fait l'oiseau pour son plumage
Enfin,il demeurera toujours en vogue
Il y aura toujours des ornithologues
Texte Claude Marcel Breault

Il y a de ces mots !
Il y a de ces mots
Qui sont vraiment tendres
Ce sont des mots
Que l'on aime entendre
Ca peut être un beau poème
Qui nous était destiné
Où les mots Je t'aime
Qu'on a écrit sur notre tablier
On se sent comme envahi
Content, mais aussi surpris
Ce n'est pas tous les jours
Qu'on dit des mots d'amour
On sent alors vibrer notre coeur
Même nos joues prennent des couleurs
Ces quelques mots, faut bien le dire
Nous font retrouver notre sourire
L'on comprend, et c'est important
Que l'amour, ce n'est pas toujours bruyant
Il peut être bien présent
Sans qu'on le sache tout l'temps
Petits bonheurs, qui seront des souvenirs
Des mots que souvent, on n'ose pas dire.
Texte Claude Marcel Breault
La terre a ... et va tourner encore...

Il faut y croire, ce n'est pas terminé
La terre continue toujours de tourner
Seul le froid, a envie de nous quitter
Craignant le soleil qui veut se rappocher
On voit des oiseaux se refaire un nid
Aussi toute cette neige, déjà parti
Quand hier encore, tout était blanc
Et ça, depuis déjà un long moment
Notre ciel en avril devient plus bleu
Nous d'ailleurs on se sent plus heureux
C'est comme au printemps de la vie
Quand on est encore un peu endormi
Mais bientôt, on fera face à l'été
Du soleil, on n'en aura jamais assez
Avant qu'on se retrouve en automnes
Que l'on vive quelques heures monotones
Oui, l'hiver viendra, comme chaque année
Il faut y croire, ce n'est pas terminé
Avec portes closes, rideaux fermés
Notre terre continue toujours de tourner
C'est avec les beaux souvenirs de la vie
Que l'on vivra, le reste de notre vie
Texte claude Marcel Breault

