L'arboretum de la Vallée-aux-Loups est situé au cœur du Val d’Aulnay au 102 rue de Chateaubriand à Châtenay-Malabry, dans les Hauts-de-Seine.
Il s'agit des anciennes pépinières Croux. Le coeur historique de l'établissement des pépinières Croux, avec le château du XVIIIe siècle où la famille Croux a longtemps résidé, est racheté et géré depuis 1986 par le Conseil général des Hauts-de-Seine.
C'est actuellement un arboretum de 13,5 hectares ouverts gratuitement au public, au sein du parc de la Vallée-aux-Loups.
En 2010, l'arboretum a accueilli 97 809 visiteurs selon l'Office du Tourisme du département des Hauts-de-Seine.C'est le deuxième site le plus visité du département derrière le Musée Albert-Kahn.
Ce jardin, longtemps laissé à l'abandon fut acheté par le département des hauts de seine en 1986. L'acquisition des pépinière Proux, proche de l'ancienne propriété de Chateaubriand, permit au conseil général des hauts de seine de planter ces arbres vénérables et remarquables que vous trouverez, lors de votre promenade. Le jardin se divise en thèmes. Un jardin anglais, un arboretum, un jardin botanique.




l’origine, ce sont des cerfs, des chevreuils et des sangliers qui les premiers peuplaient le domaine.Mis en appétit probablement par la beauté de ces paysages, les loups voulurent à leur tour goûter ce bonheur parfait. En l’honneur des nouveaux maîtres des lieux, les quelques rares habitants de l'endroit lui laissèrent le nom de Vallée-aux-Loups.
Au début du XIXe siècle, un nouveau maître à la plume aussi acérée que les griffes de ses prédécesseurs s’installa au domaine : François-René Chateaubriand. L'écrivain, réputé peu docile, avait livré combat à un prédateur plus puissant que lui, l'empereur Napoléon.
Incontournable rendez-vous des botanistes d'Ile de France, le ravissant Arboretum de la Vallée au Loups est aussi un endroit idéal de Ballade
ou de Promenade en famille pour les Franciliens.
Il lui fallait s’éloigner de la cour, le domaine saurait préserver sa liberté et son art avec discrétion.
Le domaine accueillit par la suite la migration d’une espèce un peu particulière : les pépiniéristes. Par ci par là, ils plantèrent des essences d'arbres et espèces de fleurs rares aux origines souvent exotiques. Leurs descendants paysagistes s'évertuent encore aujourd'hui à fleurir et transformer ce lieu,mais ont laissé l'emprise sur le domaine à d'autres : ce sont chaque année des milliers de promeneurs, de familles, et d'amateurs de botanique, avertis ou non, qui sillonnent les 60 hectares du parc.
La morale de cette histoire... sur place venez voir !

Parmi les jardins à thème du site, le jardin des convolvulacées accueille une serre présentant 500 espèces de ce qu’on appelle plus communément le "liseron". Cette collection, née de la rencontre avec un botaniste et chercheur du CNRS, Patrick Blanc, a été reconnue en 1999 par le Conservatoire français des collections végétales spécialisées.


