Agréable weekend à toutes et tous sous le soleil !
OUPSSS je me suis trompé de jours je croyais être vendredi le soleil ma tapé sur la tête.
Je le laisse pas envie de le refaire faite attention le soleil cogne durrrr plus l'habitude hi hi hi ...
Vive le soleil

Y a du soleil super vive le soleil moi j'ai sorti les lunettes aujourd'hui.
C'est pas moi qui le dit mais Me météo et je veut la croire assez du gris...
chez moi il est bien présent et il vas faire chaud comme
d'habitude avec de gros écart de tempèrature .
Alors profité du beau temps pour sortir.
Gros bisous à tous et toutes
Amitié sincère Nanou
Regard sur le monde !
En pèlerinage sur le petit port le long de la berge je revois mon père les yeux dans les vagues,aujourd’hui je sais pourquoi il avait ce regard la .
et pourquoi je l' ai aussi .
Penché sur l'eau sombre et profonde .On aimerait quelle happe et plus remonter, pour toutes ces choses non concrétisées,pour une vie marquée dans la chaire dans le coeur et sauf erreur ne partira pas .
Faire celle ou celui qui se fout de tout ,mais au fond il n'en ai rien, tout a sur nous un effet immédiat ,nous plaignons le monde , morose et sans attraits pour nous il n'est pas parfait et le sera jamais .
Cette façade rieuse et calme,en fait on a peur de tout, du rejet surtout, puis au fond on n ai rien du tout .
comment se comporter car,.de toute façon on ne nous voient pas
le profond est caché prisonnier
y a des jours comme ça,les jours ou rien ne va .
Ce que l'on fait, ce que l'on dit,ce que nous pensons,des pensées noires qui sortent de l' armoire souvenir.
Une parole,un geste, qui fait que cette porte s'ouvre et donne envie de se jeter a l eau .
Un endroit d’ autrefois,des odeurs hier et, tout est vif ce "qu'on pensaient oublier,bien cachés .
Ces situations ou les craintes reviennent a grand pas,espérons un sentiment de légèreté ne plus penser et vivre pour nous , mais ça,nos êtres ne le peuvent pas . Impossible de ne pas regarder le mal présent dans sa propre vie,dans la rue,les monstruosités de ce monde qu'on ne
contrôlent plus .
Un écrit comme ça sur ce qui fait que dans le monde des personnes se sentent concernés pour les autres seuls dans leurs craintes de la vie .
Et que se regarder le nombril n arrange pas choses,mais les installent comme un fait et pas un fléau .
Vague a l encre ,tempête de questions , l écrit une plage ou la raison
s'échoue .
Naufragés du monde ,je chavire a tes craintes .coquille de noix brisées oubliés .
Faut il se briser pour découvrir qui nous sommes .
par magangelis71Poeme publié 16 Fev 2011
Les murs ne sont pas toujours au-dehors
Dans tous les murs, il
y a une lézarde,
dans toute lézarde, très vite, il y a un peu de
terre,
dans cette terre la promesse d'un germe,
dans ce germe fragile, il
y a l'espoir d'une fleur
et dans cette fleur, la certitude ensoleillée d'un
pétale de liberté.
Les murs les plus cachés sont souvent au-dedans
Et dans
ces murs aussi, il y a des lézardes....
laisse pousser les fleurs,
elles
sont les germes
de la vie à venir.
Jacques Salomé
Regard sur le monde
Pendant que ton regard songe
Aux aléas de ce monde,
L’habitude se nourrit d’images
Aux alentours de l’espérance.
Tu penses soigneusement
À ce que tu pourrais apporter
Pour donner le meilleur de toi-même
Par ce courage qui donne tant de force,
À vouloir davantage
Éclore la raison de vivre.
Sais-tu seulement
Pour quelle empreinte tu es né,
En ce monde où rien n’est laissé au hasard ?
Tu vogues à l’inconnu,
Vibrant en multiples sensations.
Est-ce une identité
Que tu veux symboliser ?
Mais quelle idée
T’influence l’esprit ?
Regarde en face,
Prends le chemin futuriste
Et tu pourras, qui sait,
Lire, sur les murs de la vie,
Le message de l’avenir.
Bivalence![SÉPARATEUR TEXTE]()
« La patiente est incapable de parler ni de comprendre le moindre mot.
Il lui arrive parfois de proférer des sons inarticulés et incohérents durant des
heures. Elle n'a aucun sens des personnes, des lieux et du temps. Elle réagit
cependant à l'énoncé de son propre nom.
Il y a six mois que je m'occupe
d'elle, mais elle montre toujours une totale indifférence à son aspect physique
et ne fait aucun effort pour aider aux soins qu'on lui donne.
Il faut la
laver, l'habiller, lui donner à manger. Comme elle n'a pas de dents, il faut lui
écraser ses aliments. Elle bave sans arrêt de sorte que, devant, sa chemise est
presque toujours sale.
Elle ne peut pas marcher.
Ses heures de sommeil
sont totalement irrégulières. Elle s'éveille souvent au milieu de la nuit et
réveille son entourage par ses cris.
La plupart du temps elle est gentille et
de bonne humeur, mais plusieurs fois par jour, elle s'agite sans cause
apparente, se met à pleurer et ne cesse de crier que si quelqu'un vient la
consoler.
C'est par la description de ce cas clinique que je commençai un jour
une conférence à des infirmières déjà diplômées, sur "les aspects physiques du
vieillissement".
Je leur demandais ensuite quels sentiments elles
éprouveraient à s'occuper de cette patiente. Les mots qui revinrent les plus
souvent dans leurs réponses furent : désespérant, déprimant, pénible.
Je leur
déclarai alors que j'avais grand plaisir à soigner cette personne et qu'elles en
auraient autant que moi
Devant leur regard incrédule,
je fis passer à la ronde une photo, celle de mon bébé de six mois.
Pourquoi
est-il donc tellement plus difficile de s'occuper d'une femme de
quatre-vingt-dix ans que d'un nourrisson ?
À l'évidence, ce n'est pas
seulement une question de poids. La raison en est plus profonde.
Le bébé, et
sur ce point toutes les infirmière furent d'accord avec moi, représente l'espoir
et des possibilités quasiment infinies.
N'y aurait-il pas lieu de
changer d'attitude, afin de donner à ceux qui achèvent leur vie dans
l'impuissance de la vieillesse les mêmes soins qu'à ceux qui la commencent ?
»
Dr Paul E. Ruskin, Journal of American Medical Association, 1984.
Malgré moi
Embauché malgré moi dans l’usine à idées
j’ai refusé de pointer
Mobilisé de même dans l’armée des idées
j’ai déserté
Je n’ai jamais compris grand chose
Il n’y a jamais grand chose
ni petite chose
il y a autre chose
Autre chose
c’est ce que j’aime qui me plaît
et que je fais.
"Prête l'oreille à la voix de la justice, et oublie pour toujours les conseils de la violence."
Citation d'Hésiode ; Les travaux et les jours - VIIIe s. av. J.-C.
"La conversation est un jeu de sécateur, où chacun taille la voix du voisin aussitôt qu'elle pousse."
Citation de Jules Renard ; Journal du 29 janvier 1893.
"Les femmes aiment qu'on leur parle le langage de l'amour, même si ce n'est qu'avec la voix du désir."
Citation d'Henri de Régnier ; Lui, ou les femmes et l'amour - 1928.
"On ne perd jamais que d'une voix, et cette voix fait tout."Citation de Madame de Sévigné ; Lettre à M. Pomponne, le 9 décembre 1664.
"Je suis toujours heureux lorsque je te revois ; ton œil vif et brillant, ta pure et douce voix,
Ont un charme qui me rend ma jeunesse : Viens, enfant ! que ton père à tes côtés renaisse !"
Citation de Victor Hugo ; Cromwell, III, 5 - 1827.
"Dieu ne parle pas, mais sa voix est distincte ; il éclaire peu, mais sa lumière est pure."
Citation de Nicolas Malebranche ; La recherche de la vérité (1674-1675)
"Tu sais l'amour et ses combats ; tu sais une voix qui t'adresse
Ces mots d'ineffable tendresse, qui ne se disent que tout bas."
Citation de Félix Arvers ; Mes heures perdues, À mon ami - 1833.
"Ne méprisez pas tant les songes ; l'amour peut emprunter leurs voix :
S'ils font souvent des mensonges, ils disent vrai quelquefois."
Citation de Philippe Quinault ; Armide, III, 5 - 1686.
"Rien n'est beau comme la voix humaine, quand elle est belle."
Citation de Laure Conan ; À l'œuvre et à l'épreuve - 1891.
"Une belle conduite est plus aimable avec des hommes innocents,
Comme une belle voix a plus d'éclat dans les lieux où il y a de l'écho."
Citation de Joseph Joubert ; Des mœurs, XXXIII - 1866.
"La voix du peuple n'a d'autorité que lorsqu'elle est celle d'un peuple contenu."
Citation de Joseph Joubert ; Des mœurs, XXVII - 1866.
"L'âge ne change que la voix, et n'abolit que les cheveux et les dents."
Citation de Charles Baudelaire ; La Fanfarlo - 1847.
"Il est inutile de parler de l'amour, car l'amour possède sa propre voix, et parle de lui-même."
Citation de Paulo Coelho ; Sur le bord de la rivière, Éd. Anne Carrière - 1994.
