
Le murmure du vent !

Si vous tendez l'oreille et savez écouter...
Vous entendrez le vent...ce qu'il veut raconter...
En passant dans les arbres...caressant leurs feuillages...
De son doux bruissement, il parle de voyages...
Il raconte comment, dans bien d'autres pays,
Lorsqu'il y a du chagrin, les larmes coulent aussi..
Il raconte comment, se croisent les regards..
Et les amants qui s'aiment dans la douceur du soir...
Il raconte les peines et les chagrins d'amour...
Car souvent lorsqu'on aime...ce n'est pas pour toujours...
Mais il raconte aussi les amours éternels...
Qui de toute une vie se sont restés fidèles...
Ce soir je vais m'asseoir sous le ciel étoilé...
Attendre sagement qu'il vienne me parler...
Et on ne sait jamais...Peut-être par hasard...
Ce qu'il murmurera...ce sera votre histoire....
Trouvé sur le net
J'aime vos visites ...
Me voilà de retour après une courte absence pour être auprés
de ma maman qui à de gros problème avec sa vue l'oeil gauche
définitivement perdu , mais la spécialiste nous à rassurée pour son
oeil droit il faudra quelle subisse une opération l'année prochaine
pour une catharacte et le 03/12/2012 nous avons de nouveau rendez-vous
à Bordeaux avec une autre spécialiste des yeux pour un traitement pour l'hyper tension des yeux ce dont souffre maman d'où la perte de son oeil gauche .
Je vous avoue je suis HS beaucoup trop de route en peu de temps, je passe vous voir sur vos blogs ce mercredi dans la journée.
Bisous Nanou

Coeur encrier
Au fur et à mesure que les mots noirs
se posaient sur la virginité de la feuille
derrière le poète
une ombre grandissait
complicité de la plume assoiffée
du coeur encrier
qui s'allégeait de ses douleurs écrites
qui palpitait de ses amours tracées
devant l'âme
sur la table de chêne rongé
dans l'eau du verre bleu
aux lueurs de la lampe
se dessinaient les yeux...les fleurs.. La terre..
et les gouttes de pluie sur la vitre d'en face
étaient autant de larmes qu'il n'avait pas pleuré
Trouvé sur le net

caprice de vent

Le vent hier
Etait couleur de rêve
Juste bleuté
Il a blanchi dans sa rapidité
Dans un envol désordonné
Mes cheveux s'envolaient
Rejoignaient les étoiles
S'accrochaient
Cet air glacé a ramené
Ton visage d'indifférence
Et mes mémoires d'insolence

Flottements
Tu t’insistes
Décalques pour rester ne pas t’oublier
tu aimes tes assuétudes tes désuétudes tes solitudes
papillonnes à travers des paysages toujours les mêmes
tu as si peur de t’égarer
Tes berceaux flottent en souvenirs d’inconsistance
je crois que tu aimais ces barreaux bleus en rais de ciel
Tu t’envolais
cachais sous ton oreiller des fleurs de rêve
pour assurance
Tu t’éveillais
te grisais de la lumière en traits rayés
qui dansait à travers le vert des volets
Parfois encore tu te berces de droite à gauche
te perds un peu
Tu t’es rapprochée des soleils des vents d’été
tu le sais enfin ce pays où tu es bien
Il s’est fixé sous tes paupières
Alors pourquoi flotter encore…
Sans doute parce que tu as lu la dernière page
Depuis si longtemps
Tu sais…
